Nikon poursuit le déploiement de sa technologie de communication et de transfert sans fil SnapBridge sur l’ensemble de sa gamme de boîtiers de reflex.
Nikon a réservé l’annonce de son nouveau reflex au Salon de la Photo de Paris qui vient de fermer ses portes (9 au 14 novembre 2106, Paris Expo, Porte de Versailles). Le D5600 ne bouscule pas les lignes. Il reprend l’essentiel des caractéristiques de son prédécesseur le D5500 et y intègre SnapBridge.
Technologie de communication sans fil inaugurée par le D500 annoncée lors du CES 2016 à Las Vegas, SnapBridge s’appuie sur une liaison Bluetooth LE (Low Energy) associée à une application (iOS et Android) pour établir une connexion permanente entre un smartphone ou une tablette et le boîtier reflex. Les images sont alors transférées au fur et à mesure des prises de vue. Le Nikon D5600 embarque une connexion Wi-Fi, lui permettant d’être piloté à distance et de transférer les images en pleine définition. En Bluetooth, cette dernière est limitée à 2 mégapixels.
Le D5600 est un clone physique et fonctionnel du D5500. On retrouve le capteur APS-C de 24,2 millions de pixels, le processeur de traitement d’image Expeed 4, une plage de sensibilité allant de 100 à 25 600 ISO, un AF à 39 points, la possibilité de filmer en Full HD (Nikon ne le fait pas passer en Ultra HD / 4K), un mode rafale à 5 images par seconde. Le dos du Nikon D5600 héberge l’écran articulé tactile de 3,2 pouces de diagonale (environ 8,1 cm) d’une définition de 1 037 000 points.
Le nouveau boîtier pour amateur avertis bénéficie malgré tout de petites nouveautés par rapport au D5500, comme la barre de défilement en provenance directe des D5 et D500.
Avec ses 12,4 x 9,7 x 7 cm pour 465 g, le Nikon D5600 est annoncée pour la fin du mois de novembre à 899 euros en kit avec le Nikkor AF-P 18-55 mm VR (optique stabilisée).
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