Les gardiens du tombeau de Jesus
À propos de l’événement
Ce qu'il faut savoir
Pour la première fois, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre accueille une exposition photo sur ses grilles, avec « Les gardiens du tombeau de Jésus », une exposition de l’AFP sur le quotidien des Franciscains de Jérusalem, du 10 septembre au 13 décembre 2020.
Les frères franciscains ont accepté d’ouvrir leurs portes pour la première fois à un photojournaliste. Thomas Coex, photographe pour l’AFP alors en poste à Jérusalem, les a accompagnés durant leurs temps de prière, de travail social et de détente.
L’exposition rassemble 29 tirages et nous invite à découvrir des scènes inédites du quotidien de ces religieux catholiques, fidèles gardiens depuis 800 ans du tombeau de Jésus.
Au cœur des processions dans les recoins du Saint- Sépulcre, dans le réfectoire du couvent, pendant les matchs de basket-ball avec les élèves de leurs écoles ou à l’infirmerie où sont soignés les frères les plus âgés, ces images révèlent un monde où le quotidien et le sacré vivent harmonieusement ensemble.
L’exposition se déroule avec le soutien de Canon. Présent sur l’ensemble de la chaîne de l’image, de la capture d’image – photographie ou vidéo – à l’impression, Canon accompagne cet événement exceptionnel en étant présent à la fois lors de la prise de vue de cette histoire unique et lors de sa restitution dans un cadre d’exception.
Reporter photographe français basé à Paris, Thomas Coex collabore avec l’AFP tout d’abord comme pigiste dès 1987 à Lille. Il est engagé par l’AFP en 1996 au siège, à Paris. De 2001 à 2003, il rejoint le bureau de Jérusalem comme Responsable photo, en charge d’Israël et des Territoires palestiniens. Il revient ensuite à Paris comme reporter et comme rédacteur en chef France jusqu’en 2014. Une parenthèse entre 2008 à 2009 où il sera photographe au bureau de Caracas. De 2014 à 2019, il retrouve le bureau de Jérusalem comme chef du service photo. Il reçoit en 2001 le 3e Prix du World Press Photo dans la catégorie News story pour des images prises à Gaza lors de la seconde intifada et le 2e Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre pour le même sujet.