Toutes les semaines Lense met en avant l’un de ses Lensers, les lecteurs passionnés de photographie qui ont partagé leurs images sur le site. Cette semaine, nous vous présentons Patrick Evain (pour consulter son profil lenser, rendez-vous ici). Pour participer, c’est par ici. (Photo d’ouverture : © Patrick Evain)
Patrick Evain est un passionné qui ne se pose pas de limites de genres : du portrait au paysage, en passant par le voyage et la macro, son univers est varié et libre. Marin de commerce pendant 25 ans, c’est pendant ses longs voyages qu’il aborde la photographie dans les années 1970. Depuis, ce journal intime visuel ne l’a jamais quitté. Rencontre.
Quel est ton rapport à la photographie ?
Eclectisme de rigueur. La photographie est un plaisir et le statut amateur n’impose aucune obligation de résultat sinon une satisfaction qui reste très personnelle. Alors, de la pause longue à l’open flash, de l’architecture au portrait, des voyages à la macro, j’aborde un peu tout avec plus ou moins de réussite. Je fais assez peu de photos et si des séries mettent plusieurs années à se construire qu’importe. Mes débuts en argentique me font privilégier le noir et blanc. Mon meilleur ami, un pied Gitzo qui a 50 ans.
Comment as-tu commencé à en faire ?
Marin de commerce durant 25 ans, j’ai commencé par la photo de voyage. Premier appareil en 1970 un Asahi Pentax Spotmatic avec deux Takumar (50 – 1.4 et 24 – 3.5) puis 1972 mariage, enfants et donc photos de famille. Époque argentique avec apprentissage du développement et du tirage au sein d’un club photo. Un plaisir devenu numérique qui perdure aujourd’hui toujours au sein d’un club pour continuer à échanger et aller de la prise de vue au tirage.
Quels sont tes sujets de prédilection ?
Paysage, architecture et aussi le portrait serré de musiciens en concert ou de personnages lors de festivals que je regroupe sur un site. Par ailleurs, si toutefois une idée particulière germe, une série peut naître en quelques jours.
Quel matériel utilises-tu dans ta pratique ?
Un appareil plein format 24 millions max et deux focales 85 mm pour l’humain et un zoom 15-35 pour archi et paysages. Je suis équipé Nikon et assez peu sensible aux arguments marketing. Quant aux discussions sans fin sur la supériorité d’une marque à une autre… 99,9% des images sont consultées sur un écran non calibré et retraitées par les réseaux sociaux. Le ressenti primera toujours.
Qui sont tes photographes de référence ?
Comment as-tu découvert, connu Lense ?
Par l’intermédiaire d’ami(e)s photographes rennais.
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