Il y a des jours où prendre le métro oscille entre le calvaire voire carrément l’enfer: comment appeler autrement de rôtir à petit feu en étant forcé à rester dans une position inconfortable en subissant les crissements des rails à haute dose de décibels et parfois même les assauts olfactifs de vos voisins…
On a beau reporter toute son attention sur le dernier sens épargné, difficile de ne pas finir dégoûté.
Il y a des jours où prendre le métro oscille entre le calvaire voire carrément l’enfer: comment appeler autrement de rôtir à petit feu en étant forcé à rester dans une position inconfortable en subissant les crissements des rails à haute dose de décibels et parfois même les assauts olfactifs de vos voisins…
On a beau reporter toute son attention sur le dernier sens épargné, difficile de ne pas finir dégoûté.