Pour rebondir sur la Thematics de Nadia sur le blanc, voici la jolie approche de la photographe française Karine Laval, dont la plupart des travaux joue avec le cauchemar de la majorité des photographes : la surexposition et les blancs crâmés.
On ressent dans certaines séries une chaleur estivale…
Là où d’autres nous glacent de blanc.
Mais l’intérêt global de cette approche, c’est le mystère et l’interprétation laissée. Dans une époque où la tendance est à la saturation d’infos, et de détails dans l’image, les séries de Karine Laval prennent un peu tout le monde à revers…
6 commentaires
Ajouter le vôtre[…] Karine Laval qui surexpose […]
Euh rien à voir, mais on réserve notre soirée de jeudi comme dit ou pas ?
J’trouve ça bon, y a de la recherche derrière tout ça, c’est pas fait par hasard, et c’est pas fait par pur soucis esthétique.
Très bon choix Lâm.
Surexposition
n. f. Terme du langage photographique qui désigne un excès de luminosité dans une photographie : temps d’exposition trop long à la lumière, diaphragme trop ouvert, pellicule trop sensible.
La surexposition peut être volontaire pour obtenir un effet particulier.
C’est la dernière phrase qui est importante… pour moi le surexposition est loin d’être un cauchemar 🙂
Intéressant oui ce problème de surexposition. En plus c’est très beau ces ombres pleines de couleurs.
Mais jme dit que ce problématique de son boulot est justement trop adressé au seul public de photographes initiés.
Je suis en parti d’accord avec toi al3x, la problématique s’adresse plus spécialement à un public de connaisseurs et d’amateurs. D’un autre côté je pense que si tu présentes ces photos à n’importe qui en lui demandant : Qu’est ce que tu remarques dans ces photos?
Il/Elle répondra surement la luminosité, la clarté de la photo.
Ce n’est pas vraiment ce que l’on retrouve chez tous le monde. Un peu comme les photos HDR; Ca surprend l’oeil même si l’on ne connais pas la technique
Sinon, ça me rappelle un les photos de Massimo Siragusa dans sa série Leisure Time