La ville de Tokyo, bien connu pour sa densité urbaine et son affluence juste effrayante dans le métro, sembler inspirer le photographe Michael Wolf originaire de Munich. Des portraits décalés qui soulignent toute la folie de ces espaces de vie confinés. Ames sensibles à la claustrophobie s’abstenir.
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Déjà le troisième volume de Tokyo Compression, issu de la série éponyme, qui compile le meilleur de ces visages compressés dans le métro japonais. Nous connaissions déjà Michael Wolf pour son périple de dix ans en Chine, et cette série témoignage sur Hong Kong, ses immeubles enchevêtrés, défraichis. A la fois triste et déboussolante, à l’image de ces usagers étouffants derrière les vitres, coincés de l’intérieur façon film d’épouvante.
Des extraits du livre sont à retrouver sur Slate tandis que la série Tokyo Compression est à retrouver sur le site du photographe.
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+ Tokyo Compression : la série, le livre
+ Sur Lense : Michael Wolf et Hong Kong
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8 commentaires
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Génial et infâme
[…] Et dire que l’on se plaint de la RATP…… […]
Le mec devrait faire un tour dans le RER (B ou A) un de ces jours. C’est pareil sauf qu’en plus c’est SALE.
ambiance suffocante…
J’aurais envie de me changer à mon arrivée au boulot (comme à chaque fois que je prends le RER à l’heure de pointe en plein été)
Ahhhhh j’aurais du en faire une série…
http://itadakimazu.blogspot.fr/2008/08/de-savoureux-lambeaux-de-peaux-mortes.html
Et on se plaint dans le métro parisien !?
Wow, très bonne série !