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Amy Stein, Domesticated

Superbe Série de la photographe New Yorkaise Amy Stein. Explorant le rapport affectif et destructeur de l’homme avec la nature sauvage, elle recrée dans sa série Domesticated des situations de rencontre entre l’homme et l’animal… Empaillé.

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J’aurais bien approfondi mon analyse mais chose rare, l’artiste nous explique de manière concise et passionnante le fondement de son travail. C’est en anglais mais cela vaut largement la peine.

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Domesticated par Amy Stein

commentaires

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Il y a 16 ans et 7 mois

I haz it, too ;D

Et son blog vaut aussi le détour :
http://amysteinphoto.blogspot.com/

Il y a 16 ans et 7 mois

Celle du loup, on dirait un négatif.

Il y a 16 ans et 7 mois

complètement absorbé et halluciné par l’atmosphère qui se dégage de chacune de ses photos.

Il y a 16 ans et 7 mois

Je surkiffe la première de la série « Halloween in Harlem ». Spiderman il a trop la classe kwa.

Il y a 16 ans et 7 mois

Juste pour ajouter de petites précisions qu’elle ajoute sur son blog:

« I will add… Domesticated is a series of staged photos in the tradition of Jeff Wall, Gregory Crewdson and Philip-Lorca diCorcia. The work is not a documentary project nor is it wildlife photography. The work uses a mix of living and dead animals. I was inspired by the dioramas you see at natural history museums that show the drama of early man living in close quarters with the wild around him. I imagined a new series of narratives that would serve as the modern equivalent of that tension. The photos are recreations of real stories of human/animal interactions that took place in the transitional space between domestic habitat and wild habitat. They are set in a small town in Pennsylvania that borders a state forest. »

Voilà voilà.

Sinon, je sais pas quoi en penser.

C’est un travail de fou, on pourrait presque croire à la « réalité » de chacune, au hasard, à la chance d’être au bon endroit au bon moment si l’exploit n’était pas renouvelé encore et encore, chaque animal parfaitement net indépendamment des conditions de lumières…

Mais une bonne partie me laissent complètement indifférent, genre toutes celles avec les p’tits zoziaux.

Et là, paf, tu tombes par exemple sur la 9, et tu lutte pour remettre ta mâchoire dans sa position originelle.

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