Présente au sein du catalogue Edelkrone depuis déjà quelque temps, la tête de trépied FlexTILT Head constitue le premier produit de la marque à rejoindre la gamme Ortak afin de pouvoir être fabriqué à moindre coût à l’aide d’une imprimante 3D.
Connu pour le caractère relativement innovant de ses produits, le constructeur américain Edelkrone tente de casser son image de marque onéreuse par une initiative des plus intéressantes. Proposant son premier produit, la gamme Ortak met en avant l’idée de ne vendre que les pièces les plus complexes d’un objet (joints en aluminium, composants électroniques, etc.), plutôt que de vendre ce dernier entièrement fabriqué. C’est ensuite à l’utilisateur que revient la tâche d’acquérir les matériaux les plus communs, puis d’effectuer une impression 3D à l’aide des plans fournis par Edelkrone. La marque mise donc sur la démocratisation des imprimantes 3D et sur l’attrait que représente le fait de pouvoir personnaliser la forme et les couleurs d’un produit.
Le premier de ces produits est la FlexTILT Head 3D, une tête de trépied imprimable en 3D et reprenant le concept de la FlexTILT Head 2. Comme cette dernière, la Head 3D se destine en particulier aux vidéastes et repose sur un design original pour assurer compacité et facilité d’utilisation. Dépliable et pourvue d’un système de frictions, celle-ci peut en effet être ajustée en hauteur et en inclinaison, aussi bien lorsqu’elle est utilisée seule, avec un trépied ou conjointement à un slider. Si les mêmes matériaux sont utilisés, la FlexTILT Head 3D dispose de caractéristiques techniques similaires à la Head 2, soit un poids de 440g et une capacité de charge maximale de 2,5 kg.
Un assemblage relativement simple
Aux côtés d’un modèle 3D et d’un guide de montage au format PDF, Edelkrone propose une vidéo d’assemblage de la FlexTILT Head 3D.
Un prix de vente logiquement réduit
Si le prix de la FlexTILT Head 2 s’élève à 149 €, les pièces les plus complexes de la FlexTILT Head 3D sont vendues seulement 29 €. À cette somme, il faut néanmoins ajouter le prix de l’impression 3D correspondant à l’acquisition des matériaux nécessaires et à la location – ou l’achat – d’une imprimante adéquate.
Source : Edelkrone
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