Hey hey hey, c’est l’heure du story telling, et histoire de voir ce que donne un peu l’inconscient collectif des membres de Lense, cette semaine je vous demande d’abord un cri et ensuite juste quelques mots (ce que vous voulez) pour nous raconter ce que vous évoque cette image, racontez nous tout ce qui vous est passé par la tête.
Vous connaissez le jeu, allez nous écrire ça dans les commentaires (promis cette fois ci je les ai bien activés) avant de lire les mots du photographe (que j’aime particulièrement cette semaine).
Moi perso le cri c’est « Fichez moi la paiiiiiiiiix !!! » Et pour l’histoire, je pense qu’à cause des lunettes cassées je m’imagine un mec martyrisé par les beaux gosses de sa cour d’école qui n’en peut plus, pète un cable et fait fuir tout le monde d’un seul cri.
Mais l’histoire du photographe est un peu différente :
« I already had an idea in mind about what I wanted to express before I took this shot, it was a feeling trying to reach a visual form, because I was incapable to say it in other way, or in other words, it was perfect to say it that way.
To me the photo is an attempt to pierce the silence of the shot, I tried to shoot the scream itself, and the feeling of an inside explosion represented so sharp in the image you can almost hear it. The title « Explotar » express this idea I think.
I am happy to know that the scream has gone so far ! »
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« J’avais déjà ma petite idée avant de faire cette photo, je ne l’ai pas shootée dans l’instant, je savais ce que je voulais exprimer. Je voulais exprimer par l’image quelque chose que je n’arrivais pas à dire, que les mots ne pouvaient pas formuler, c’était plus simple pour moi de le traduire ainsi.
Ce cliché est pour moi une façon de dépasser le silence de la photo, j’ai essayé de faire résonner ce cri et le sentiment d’une puissante explosion intérieure. C’est pourquoi je l’ai appelé « explotar ».
Je suis très heureux de voir que mon cri a retenti aussi loin ! »
17 commentaires
Ajouter le vôtrePOURQUOI MOI ?
Ce cris me vient à l’esprit quand je vois cette photo, car il à l’air martyrisé par les gens qui sont dans la même cours que lui. Pourquoi c’est à moi que vous faite tout ça…?
FFFFFFFFFUUUUUUUUUUUUUUUUUU-
Je dirais que ses verres se sont cassés… une fois de plus ^^
What the FUUUUUUCCKKKKKK-AAAAAAAhhh!!!!
Un peu énervé quoi!
Pour moi ce serait
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Qu’on me foute la paix…………………………..
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !!!
Elles ont pété mes lunettes avec leurs cris stridents !!! C’est la dernière fois que je vais à un concert des Beatles…
QUI EST LE CON QUI M’A ENVOYE LE BALLON EN PLEINE GUEULE!!!
PUTAIN ! ÉDUCATION DE MERDE ! AUCUN HONNEUR ! AUCUNE DIGNITÉ !
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !
Suivi du blast thermonucléaire…
Pourquoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
ps: le mec ressemble trop à mon colloc, donc ça pourrais aussi être NaaaaaaAAAAAAANNNnnnn !!!
Fssssssssssssssssssssssss
Un sifflement strident, je pense au film « Scanners »
AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!! « J’en ai maaaaaarre !!!! »
Clair que le « J’en ai assez! » vient tout de suite a l’esprit.
Moi ça me fait penser au cafard blondinet dans « Le petit Nicolas » (que j ‘ai vu hier en DVD) qui dit tout « Vous pouvez pas me frapper j’ai des lunettes ! Ça me rappelle aussi un peu ma jeunesse de collégien >_<
Un cri de « J’en ai marre » « Nooooon pas encore, cette fois c’est fini je ne me laisserai plus faire » Il s’est fait frappé ou renversé à vélo, un truc indépendant de sa volonté, qui du coup à briser ses lunettes. Et c’est cette cassure qui lui fait réaliser ce trop plein de choses, qui a déjà trop duré 🙂
Ka-mé-ha-mé-haaaaaaaaaaaaaaaaa
Pour ça ça évoque un « cri qui tue », dont la puissance va jusqu’à briser les verres de ses lunettes.
Rhaaaaaaa ! Fuck ! Fuck ! Fuck !
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!
Moi ça m’évoque quelqu’un qui était train de se faire later dans la rue et qui a lâché un gros cri qui tue pour effrayer ses adversaires.
Pour moi c’est un « cri de muet », qui désirerait, avec une volonté féroce, se faire entendre.
Sa volonté est est tellement forte qu’il en pète ces verres,… qui ont l’air épais quand même.