Séquence choc dans les rues d’Alep en Syrie. Le photojournaliste Javier Manzano, au détour d’une ruelle disputée entre les rebelles et l’armée du président Bachar al-Assad, tombe sur nez à nez avec le parfait exemple d’une cruauté gratuite et choquante.
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Un homme blessé, entre la vie et la mort, souffrant d’une balle logée par un sniper qui a décidé de jouer avec lui, de le regarder se débattre, seul. A quelques mètres de là, le photojournaliste Javier Manzano en plein reportage assiste à cette scène, impuissant. Lui et les forces de l’opposition qui l’accompagne feront l’impossible pour traîner le corps jusqu’à un point sauf, prêts à tout pour le sortir de ce piège aussi glaçant que gratuit.
L’histoire complète racontée par le photojournaliste est à retrouver sur le site de l’AFP. Voici le parcours de cet homme sauvé in extremis de cette allée en images.
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6 commentaires
Ajouter le vôtreMonsieur, moi je connais bien Alep depuis de années j’écris sur la Syrie e et de plus j’y ai une importante belle famille dont l’origine est depuis des siècles dans un des ces quartiers très populaires et que je connais bien Kallaseh! De plus j’ai une ancienne maison juste à la sortie du souk du coton coté sud- est proche du porche de la citadelle !Et quand à plusieurs reprises chaque année et il y a juste un an pour la dernière fois,j’y résidais moi et mes filles franco- syriennes , qui ont en Syrie beaucoup d’amis et amies de leur âge(trentenaires ) de tous les milieux et de toutes confessions !
Alors quand nous voyons que vous vous faites les chantres vous tous les journalistes et photographes embedded, au servie de tous ces islamistes inacceptables dont certain groupes salafistes qui peu à peu investissaient Alep et surtout dans les quartiers de l’est déjà déjà embêtaient tout le monde par leur idéologie très intolérante même pas i du moyen äge, cela nous met tous très en colère !
Et je vous soupçonne vous, Monsieur le photographe de vous être planqué dans MA maison dans ce quartier très populaire des souks et du sud-est de la citadelle ue j’ai bien reconnu et que vous avez parcouru pour faire votre travail en douce !et sans que cela vous gêne !!! ces islamistes avec ce groupe de rebelles Libyens de Benghazi de LIwa a l tawa’id qui ont chassé de Notre maison, la famille d’un pauvre cousin qui avait déjà perdu son appartement 8 Non seulement ils l’ont chassé en terrorisant tout le monde , de chez MOI, nons eulement ils ont menacé de let tuer parce quils ont trouvé dans MON frigo, une bouteille de whisky, non seulement ils ont sorti de Ma maison les belles statues africaines et les ont brisées parce que non conformes à l’islam, non seulement ils ont cherché à savoir où se trouvait mon mari ( pour faire la peau à ce salaud qui boit de l’alcool (ignorants a ud ébut de leur enquête sur nous quand ils se sont installé partout NOUS que nous vivons en FRANCE) non seulement ils ont fouillé partout CHEZ NOUS , mais encore ils nous font savoir en donnant leur nom et le nom de leur u brigade et leur provenance étrangère , au cousin qui arrive à leur parler mais ils nous intiment de nous faire musulmanes nous les Françaises dont ils ont compris que nous étions les propriétaires ! mais enfin ils veulent aussi que nous contactions l’Ambassade de France pour leur contact (sic) Sans doute venus de Benghazi, ils imaginent que tout Français est avec eux comme BHL, Sarkozy et l’OTAN ;
Alors je voudrais bien que vous me contactiez si vous en avez le courage et que vous m’expliquiez pour quelles raisons sinon pour vendre vos photos vous vous faites les propagandistes de ces illuminés sanguinaires qui font leur jihad sur le dos des Alepins ! et en les utilisant pour vous faire connaitre ? Et je suppose que vous avez dù être logé quelque part et que cela ne vous a pas gêné de vous introduire dans NOS maisons pour pouvoir faire votre reportage mais comme tous ces embedded qui sont à la charge de ces voyous sans foi ni loi Je veux vous dire que je n’ai pour vous que du mépris !
Je suis mme Lafleuriel ZAKRI,résidente à Alep près citadelle dans une grande et très ancienne maison où vous avez dû être logé à mes frais et en violant sans vergogne mon logis ! j’attends vos explications ! Avec l’expression de mon insondable mépris ! S.lalfeureilZAKRI
Photos terriblement fortes, à l’image des conflits dans lesquels des photographes risquent leur peau pour que la guerre ne soit pas passée sous silence. Il n’y a bien que la photographie pour évoquer, rapporter, témoigner avec une telle justesse. Chapeau !
dur d’être un civil qui veut juste traverser la rue pour rejoindre sa famille !
dur métier que celui de rebelle, surtout en période de dictature
dur métier que celui de photojournaliste, surtout en période de guerre…..
Ca fait mal.