Dans les années 50, bien avant de devenir le réalisateur de Women in Love et de The Devils, Ken Russell était un photographe freelance dont le travail était régulièrement publié dans les magazines britanniques de l’époque. A l’instar de cette série mettant en scène l’émancipation de la classe ouvrière féminine de Notting Hill.
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Dans sa série The Last of the Teddy Girls, Ken Russell capture ces filles au look de mauvais garçons, androgynes et rockabilly à souhait, en pleine rébellion contre les codes très strictes de la société anglaise, drapés dans des costumes au style néo-édouardien.
Ces portraits font le point d’une époque d’après-guerre en plein révolte culturelle, dans des poses à la fois innocentes et suggestives.
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3 commentaires
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Quitter un conformisme pour plonger dans un autre…
C’est marrant comme ces photos sont narratives tout de même. Les portraits ne sont pas isolées du contexte de prise de vue. On se plonge facilement dans l histoire du photographe et on devine où, à qu’elle heure et comment il s approche de ses modèles.
À l exception de la 5-8 et 10 ou les portraits noir et blanc sont d’avantage mis en scène tout de même.
Quelle ambiance le travail à cette époque!