L’association The Nature Conservancy organise chaque année un concours photographique qui nous invite à redécouvrir les environnements les plus spectaculaires de la planète. (Photo d’ouverture : © Yaron Schmid)
The Nature Conservancy a pour mission de préserver la faune et la flore qui régissent nos éco-systèmes. Ainsi, par la photographie, l’association porte une réflexion sur ces environnements à risque. C’est une manière de montrer par la créativité ce que nous pourrions perdre à jamais si nous ne changeons pas notre manière de consommer. Les gagneurs du concours de cette année se sont appliqués dans des techniques différentes, de la photographie au drone au portrait animalier en passant par des clichés illustrant les liens entre l’homme et son environnement.
A travers les catégories Landscape, Wildlife, Cities, Water et People les photographes donnent leur vision artistique sur le monde qui les entoure, la nature sauvage et les paysages les plus époustouflants. Tyler Schiffman remporte le Grand Prix avec sa photographie des lions de mer en Californie, à Monterey. Une image qui a été shootée grâce à beaucoup de patience et un peu de chance. « J’ai eu ce cliché en attendant que le lion de mer en question se jette à la mer » il raconte. « Après 5 minutes il a plongé et il s’est arrêté pendant quelques secondes. J’ai pu prendre trois photos de ce moment rare qui n’a duré qu’un clin d’oeil ».
Le concours a eu des candidatures depuis plus de 152 pays différents et 125,000 images envoyées. C’est cette vision globale qui fait de ce concours une occasion unique pour découvrir les coins les plus incroyables de notre planète. Cette collection est une sonette d’alarme nous rappelant ce pour quoi nous nous battons quand nous adoptons des comportements éco-responsables.
« Le monde naturel nous inspire une grande quantité de songes, de rêveries, il stimule notre imaginaire » affirme Richard Loomis, le responsable marketing de l’ONG. « En effet, ces photos nous montrent clairement la fragilité de notre monde, des eaux et des terres desquels nous dépendons ».
Source : The Nature Conservancy
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