Google Arts & Culture présente l’exposition virtuelle Meshiagare! Flavors of Japan, une ballade au coeur de la gastronomie japonaise. A visiter ici. (Photo d’ouverture : © Google Arts & Culture)
« Meshiagare » en japonais signifie « Bon appétit ! ». Et n’est-il pas plus agréable de manger lorsqu’on connaît l’histoire des aliments ? Tel est le but de l’exposition Meshiagare! Flavors of Japan, une nouvelle expérience virtuelle mise en place par Google Art Project. Google Arts & Culture avec 20 autres partenaires donnent vie à une exposition unique sur l’art culinaire japonais à travers des lieux, des personnes, des traditions.
Le spectateur pourra ainsi se balader à Golden Gai, une ruelle avec plus de 300 bars où nourriture, art et culture se sont mélangés pendant des générations. On pourra aller à la découverte du street food d’Osaka et de la nourriture japonaise conçue pour les voyages dans l’Espace. En plus de ces images appétissantes, le visiteur pourra apprécier des sons immersifs et trouver les recettes de ses plats japonais préférés.
Meshiagare propose d’approcher la cuisine japonaise « par l’intermédiaire de trois perspectives : son histoire, ses lieux et ses plats ». Le parcours commence par une exploration de plusieurs événements historiques qui ont fait la gastronomie japonaise, des origines végétariennes de celle-ci à l’arrivée du ramen, né grâce à l’influence d’étudiants chinois venus s’installer au Japon. Le reste de l’exposition se concentre en détail sur certains plats et aliments connus, comme le sushi, le ramen, le wagashi, le thé, le sake, pour ensuite nous initier aux principes de l’art de la table nippon.
Avec plus de 100 expositions différentes et 3000 images en haute résolution, ce parcours est une plongée photographique extraordinaire au coeur d’une cuisine célèbre partout dans le monde. Après Made in Japan, qui se focalisait sur l’artisanat japonais, Google Arts & Culture met à nouveau le Japon à l’honneur. Vous pouvez avoir un aperçu complet de cette expérience via l’application officielle.
Source : Google Arts & Culture
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