Dans la foulée de son nouveau système hybride plein format, Nikon présente le D3500. Un reflex en entrée de gamme, successeur du D3400. Plus petit et offrant une plus grande autonomie, il en reprend les spécification technique.
Moins attendu que le système Nikon Z, le reflex d’entrée de gamme D3500 vient remplacer le D3400. Peu de surprise au rendez-vous. On retrouve le capteur APS-C CMOS de 24,2 millions de pixels associé à un processeur de traitement d’image Expeed offrant une plage de sensibilité allant de 100 à 25 600 ISO et une cadence rafale de 5 images par seconde. L’autofocus s’appuie toujours sur 11 points avec la technologie 3D-tracking.
Le viseur optique assure toujours une couverture à 95% avec grossissement à 0,85x. Pas de changement non plus pour l’écran. D3500 et D3400 partagent le même : 3 pouces de diagonale pour 921 000 points de définition.
Le mode vidéo se cantonne toujours au Full HD (1 920 x 1 080 pixels) de 24p à 60p. Pas d’Ultra HD / 4K à l’heure ou quasiment tous les smartphones le proposent et dont les utilisateurs sont justement la cible de de D3500… Dans sa présentation, Nikon mentionne ainsi plusieurs fois les smartphones, et souligne combien la qualité d’image photo et vidéo du D3500 est supérieure à celle des téléphones.
La connectivité est donc bien sûr au rendez-vous avec le Wi-Fi et l’application SnapBridge pour la connexion avec un terminal mobile afin d’assurer partage et contrôle à distance.
Plus petit, plus léger, plus autonome
Le D3500 se distingue de son prédécesseur par sa taille, légèrement inférieure (12,4 x 9,7 x 6,95 cm contre 12,4 x 9,8 x 7,55 cm), son poids (365 g contre 395 g) et surtout son autonomie. Nikon l’annonce en hausse de près de 30% à 1 550 clichés (1 200 pour le D3400).
Nikon annonce la disponibilité du D3500 à partir du 20 septembre 2018 au tarif de 549 euros en kit avec le Nikkor 18-55 mm f/3,5-5,6 mm VR.
Source : Nikon
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