A l’occasion du lancement de son dernier smartphone, le Honor 200, la marque chinoise dévoilent le résultat d’une étude sur les photos ratées. Menée en partenariat avec l’institut Censuswide, elle s’attache à analyser le rapport des individus à la photographie. Et à la pratique du portrait en particulier.
Une approche qui n’est pas totalement innocente, le Honor 200 bénéficie d’un partenariat avec le Studio Harcourt pour proposer un mode portrait issu de l’expertise du mythique studio.
L’enquête
Menée par l’institut Censuswide pour Honor en mai 2024, elle a interrogé plus de 10 000 personnes âgées de 18 à 45 ans sur cinq marchés européens : Royaume-Uni, France, Allemagne, Espagne et Italie.
Portrait : je t’aime… moi non plus
De cette étude, il ressort que la pratique de la photo de portrait se révèle un exercice à la fois apprécié et mal aimé.
Source de stress et de conflits
- 34% (un peu plus d’1/3) des français agés de 18 à 45 ans déclarent se sentir mal à l’aise lorsque l’on met trop de temps à prendre une bonne photo d’eux.
- 20% (1 sur 5) se sentent frustrés si les compétences photographiques de leurs proches ne sont pas à la hauteur.
- 20% (1 sur 5) déclarent se sentir spécial lorsque quelqu’un veut prendre une photo d’eux.
- 16% avouent qu’ils sont plus susceptibles de sortir avec quelqu’un, si cette personne est bonne photographe.
- 17% admettent s’être disputés et avoir cessé de parler à quelqu’un à cause d’une photo ratée. Un chiffre qui monte à 25% chez les représentants de la génération Z (nés entre 1995 et 2010).
- 7% avouent avoir déjà mis fin à une relation à cause d’une photo d’eux ratée.
- 50 % (1 sur 2) ressentent beaucoup de pression au moment de prendre une photo pour quelqu’un.
- 40% admettent ne pas savoir comment prendre un bon portrait.
… mais aussi de satisfactions
- 53% admettent malgré tout que le fait de réussir un beau portrait leur apporte une grande satisfaction.
- 35% déclarent qu’un beau portrait peut révéler davantage de choses d’une personne.
- 41% apprécient lorsqu’une photo réussit à capturer la personnalité de quelqu’un.
Des bons et des mauvais élèves
- avec une moyenne de 298 photos inutilisées se distingue avec une moyenne de 275 clichés les femmes sont les plus enclines à conserver des photos ratées sur leur téléphone. Comptez 171 clichés conservés chez les hommes.
- 275 photos pour la génération Z, c’est 16% de plus que les 25-34 ans, et 33% de plus que les 35-45 ans (reste à savoir si ces deux dernières tranches d’âges sont meilleures photographes ou si elles sont plus enclines à faire le ménage dans leur photothèque).
- 422 photos ratées en moyennes en Île de France
- 251 dans les Hauts-de-France
- 228 pour l’Auvergne-Rhône-Alpes
Des chiffres intéressants et amusants à lire, mais il aurait été encore plus intéressant de connaître les questions qui ont été précisément posées pour aboutir à ces conclusions.
Source : Honor
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