Toutes les semaines Lense met en avant l’un de ses Lensers, les lecteurs passionnés de photographie qui ont partagé leurs images sur le site. Cette semaine, nous vous présentons Julie de Waroquier. Pour participer, c’est par ici. (Photo d’ouverture : © Julie de Waroquier)
Notre lenser de la semaine est Julie de Waroquier, professeur de philosophie et photographe à ses heures perdues. Dans ses mises en scène élaborées, elle exprime des émotions, ressentis, idées nourries par la philosophie et le regard qu’elle pose sur le monde. Loin du réalisme, elle nous présente des images oniriques flirtant avec le surréalisme. Nous lui avons posé quelques questions.
Quel est ton rapport à la photographie ?
Je la pratique professionnellement depuis 2010, en parallèle de mon activité de professeur de philosophie ; c’est un métier-passion, qui complète la philosophie. Je crée selon l’inspiration, librement, pour exprimer les émotions ou idées qui me travaillent.
Comment as-tu commencé à en faire ?
C’était lors de mes études, en prépa littéraire. J’avais un petit compact alors, qui m’a aidé à me libérer l’esprit des études denses. Je créais des images sans prétention, mais j’ai tout de suite pris goût à la mise en scène. J’ai peaufiné la technique et les réalisations jusqu’à aujourd’hui !
Quels sont tes sujets de prédilection ?
Je réalise des mises en scène, très rarement des captures sur le vif ou réalistes. J’aime raconter des histoires en images, des petits contes visuels. Je tends ainsi vers la poésie et le surréalisme avec des montages, mais j’explore des thèmes très divers dans des projets dédiés.
Quel matériel utilises-tu dans ta pratique ?
J’ai le d800 de chez Nikon, qui me satisfait car il capture suffisamment de détails pour le rendu que je recherche. J’aime les 85 mm et 50 mm, elles me permettent d’avoir le recul idéal face au sujet, mais surtout d’ouvrir en grand le diaphragme pour capturer une douce luminosité.
Qui sont tes photographes de référence ?
Il y en a énormément ! Je suis en ce moment très sensible à l’univers de Maia Flore, qui réalise des compositions épurées et percutantes, dans un univers qui me touche.
Comment as-tu découvert, connu Lense ?
C’était au tout début de ma pratique, je cherchais une plateforme de photographes et j’ai été séduite par la créativité présente sur Lense.
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